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23 février 2007 5 23 /02 /février /2007 09:07

Le désir de connaître ses ancêtres est tout à fait légitime et compréhensible. Qu’est-ce qui fait que je suis « moi » et pas le voisin par exemple. Mes parents, les parents de mes parents que j’ai ou n’ai pas connus. Les histoires de famille qui nous aident à comprendre d’où nous venons. Au delà des arrière-grands-parents pour les plus chanceux d’entre nous qui ont pu les connaître, l’histoire s’arrête là. Restent les légendes de famille. Le 2e mari de l’arrière-grand-mère Olga descendait du chirurgien de Surcouf (voir l’article…), un ancêtre de ma belle-mère avait immigré au Canada… autant d’histoires de famille qui nous poussent à faire des recherches plus approfondies sur des destins hors du commun, mais aussi sur des destins de gens très ordinaires, parfois tragiques comme cette ancêtre du XVIIIe siècle qui après avoir accouché de triplés, décédait avec ses 3 enfants, laissant son mari veuf avec ses six autres enfants. De l’écuyer au chirurgien barbier en passant par le marbrier ou le gouverneur à bestiaux, la généalogie passionne car elle raconte des histoires, à travers et au delà des noms et des dates que l’on collectionne.
 
Or donc pour commencer, il faut interroger les membres de sa famille, du plus proche au plus éloigné. Les anciens, dont on se dépêchera de recueillir la parole. Ce sont les meilleurs témoins de l’histoire, et ce n’est pas quand leur mémoire commence à flancher qu’il faut penser à leur poser des questions (j’ai  fait l’erreur avec Olga…) sans compter que ça leur fera toujours plaisir d’évoquer leurs souvenirs
. Puis, fouillez dans les cartons, au grenier ou dans les fonds de tiroirs. Rassemblez tous les papiers officiels, vieilles cartes d’identités, cartes militaires, et surtout les livrets de famille qui sont une mine d’informations. Mais aussi de vieilles lettres oubliées, des photos anciennes, gardez tout !

Vous avez maintenant des pistes. Il faut savoir que pour tout ce qui touche des actes de moins de 100 ans, vous ne trouverez rien sur Internet. C’est une question de confidentialité tout à fait compréhensible
.
 
La deuxième étape est : La recherche en mairie !

(23/02/2007)

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